Biographie
Bamby est une auteure, interprête. Dès le début, Jahyanai et Bamby ont des points communs : une même année et un même mois de naissance … comme si c’était écrit, comme s’ils étaient prédestinés à se rencontrer, à collaborer, … Aussi, une même région française qui les a vu naître : la Guyane, trop souvent méconnue. Ils ne savent pas encore que, plus tard, leurs succès dans l’Hexagone et à l’étranger leur permettra d’en être de véritables ambassadeurs musicaux.
Enfants, tous les deux issus d’une famille modeste, ils grandissent chacun d’un côté et ne se connaisent pas encore, mais ont un même amour pour la musique. Jahyanai apprécie les sonorités urbaines, Reggaeton, Dancehall, Ragga, Reggae, … des artistes comme Tupac, Shabba Ranks, MC Solaar, Jay Z, … tandis que Bamby écoute en boucle des sons de Whitney Houston, Alicia Keys, Fanny J, …
Les deux jeunes se rencontrent alors qu’ils ne sont encore qu’en sixième, ils commencent à s’apprécier. Leur principal sujet de conversation est déjà la musique puisque Jahyanai et Bamby échangent, durant les récréations, sur les tubes du moment et des morceaux d’artistes talentueux mais peu médiatisés. De son côté, le jeune, responsabilisé très tôt (parents divorcés avec quatre frères et soeurs), noircit des pages avec ses maux, des mots engagés, de paix, de rebellion. En 2005, il commence à les enregistrer derrière le micro. Il s’essaye à plusieurs styles musicaux : Reggae, RNB, Hip Hop. Exigeant avec lui-même, il travaille sa voix, ses flows. Ses premières maquettes forcent le respect, ses proches dont Bamby l’encouragent donc à continuer.
Bamby décide de suivre ses études dans l’hexagone qu’elle réussit avec brio. Les deux jeunes restent, donc, en contact via internet. Elle suit donc les débuts de carrière prometteurs de son acolyte. Pris en considération par des festivaliers et des organisateurs d’évènements, Jahyanai enchaîne des premières parties d’artistes de renommée internationale : Jah Cure, Wyclef Jean, Luciano, Beres Hammond, Third World, … , des fêtes communales, des showcases affichant complets. Des milliers de personnes découvrent la « bête de scène » et deviennent fans. Considéré aussi dans le milieu professionnel, il commence à obtenir de nombreux prix : chanson de l’année et révélation masculine de l’année, en 2012, aux Hit Lokal Awards (compétition des artistes des DOM TOM), deux prix aux Lindors de la Musique guyanaise en 2013: chanson de l’année et meilleur interprète masculin.
Motivé, véritable « self made man », il décide dans un premier temps de créer son propre label de production et d’édition : « Rude Things records« . Cela lui permet de soutenir des artistes de son quartier en leur donnant plus d’exposition, de produire ses projets, plus tard ceux de Bamby, des compilations (« War angel riddim‘‘. « Lord have mercy riddim ». « Paranormal acvtivity riddim« ).
Bamby, confiante en Jahyanai et rattrapée par sa passion pour la musique, décide de passer le pas et de signer dans le label de son mentor. Le premier fruit de leur collaboration, le single « Real wifey » et son clip sont de véritables succès comptabilisant plus de 9 000 000 de vues réelles sur Youtube, des playlists radios et TV (Trace Tv, Trace FM, Guyane 1ère, Outre Mer 1ère, NRJ Antilles, … ).
Entre l’expérience gagnée par Jahyanai et le sex appeal de Bamby, l’originalité du duo conquit un public encore plus large.
Ils prennent leur public à contre pied et réalise un clip sombre et original aux ryhtmes endiablés: « Fix up« , tourné dans une ville fantôme, qui comptabilise plus de 3 000 000 de vues réelles sur youtube.
Passionnés par la culture américaine, Jahyanai et Bamby décident qu’à partir de « Run di place » tous leurs clips seront des oeuvres visuels inspirés par le cinéma d’Outre atlantique, tout en gardant leurs rythmiques issues de Jamaîque et des DOM TOM. Egalement, les deux jeunes créent un univers à la frontière de plusieurs arts: cinéma (les productions de séries à succès, le réalisateur de « Mad Max, fury road »: George Miller, Quentin Tarantino, Spielberg, Martin Scorcese, … ), mode, musique, …
« Run di place » et ses 14 millions de vues signent la continuité de la réussite du duo, en playlist sur les chaînes de télévision : Trace TV, Bblack, OKLM TV, … , sur les stations radio : Exo Fm, NRJ Antilles, Trace FM, Tropiques FM, Espace FM, …
De retour avec un nouveau single, le 28 juin 2017, « Who mad again« , ils décident d’affirmer leur détermination, leur soif de pousser les codes, d’internationaliser leur musique avec un clip qui oscille entre « Mad Max » et « Game of Thrones« . Le public est une nouvelle fois conquis par le parti pris osé, en forte rotation. Ce single obtient le 13 avril 2018 le single d’or qui est la récompense de leur travail acharné.
Les propositions de prestations se multiplient, les salles sont combles dans plusieurs pays : France hexagonale et dans tous les DOM TOM, à Saint Martin, Sainte Lucie, au Canada, en Israël, Espagne, Italie, Suisse, Pologne, Allemagne, Belgique, Ile Maurice…