Biographie
Niska, de son vrai nom Georges Stanislas Malif Dinga-Pinto, est un rappeur français né en 1994 à Villeneuve-Saint-Georges et ayant grandi à Évry en Essonne. À l’âge de 16 ans, il devient père d’un garçon. En 2014, il poste son premier clip, « Guévaraché« , et se fait connaître l’année suivante grâce aux clips « Allô Maître Simonard« , « Carjack Chiraq » et « Freestyle PSG« .
En 2015, Niska collabore avec Maître Gims sur la chanson « Sapés comme jamais« , qui le fait connaître à l’échelle nationale. La même année, il sort sa première mixtape, « Charo Life« . En 2016, il sort son premier album, « Zifukoro« , qui connaît un grand succès et est certifié disque d’or et de platine.
En 2017, il sort son deuxième album, « Commando« , qui devient rapidement disque d’or, de platine et de diamant. La même année, sa chanson « Réseaux » atteint la première place du Top Singles en France pendant onze semaines consécutives et est certifiée single de diamant. En 2019, il sort l’album « Mr Sal« , qui est certifié double platine.
En 2021, Niska sort la mixtape « Le monde est méchant« , comptant dix-sept titres dont dix collaborations, et fait partie du jury de l’adaptation francophone de l’émission « Rhythm + Flow« . Niska est reconnu pour son talent à marier deux courants musicaux, la trap d’Atlanta et le rythme de ses racines congolaises. Ses textes évoquent souvent sa notoriété ainsi que la vie quotidienne des jeunes de sa cité, Champtier du Coq, avec des thèmes allant du repérage de femmes sur les réseaux sociaux aux tours que le maire de la ville veut casser.
Niska a également utilisé plusieurs pseudonymes, dont le plus connu est Charo, diminutif de charognard, qui signifie « la détermination, tu lâches pas, tu vas jusqu’au bout ». Il a également utilisé le surnom Korozifu – Zifukoro en verlan – qui vient du mot corrosif, ensuite stylisé korosif’, et qui est un mot-valise mélangeant korosif et zifu, le verlan de fusil.
Niska est reconnu pour son talent à marier deux courants musicaux : la trap d’Atlanta et le rythme de ses racines congolaises. Ses textes évoquent souvent sa notoriété ainsi que la vie quotidienne des jeunes de sa cité, Champtier du Coq, avec des thèmes qui varient de « repérage de femmes sur les réseaux » aux tours « que le maire de la ville veut casser ».
Apparaît sur ces albums
